Poursuit son travail au piano avec Alexandre Siloti, secondé par sa fille, Kyriena, qui lui enseigne le solfège, la théorie, la technique, et qui lui apprend à écrire le russe, à parler et à lire le français. Assiste à son premier match de baseball, qui restera toujours sa « perte de temps » favorite. Découvre le cinéma, se glissant chaque fois qu’il le peut dans les cinémas de Broadway.

Eugene Istomin à sept ans